L'Abbé Robert LAMARQUE

L'Abbé Robert LAMARQUE
Lundi 17 juillet, l’Abbé Robert Lamarque nous quittait.

Lundi 17 juillet, l’Abbé Robert Lamarque nous quittait. La maladie, contre laquelle il avait lutté
courageusement jusqu’au bout, triomphait.

Avec lui disparaît le dernier curé de notre village. C’était un homme respectueux des autres et attentif ;
une personnalité attachante toujours accessible, disponible, un prêtre soucieux de servir son idéal.

Né le 14 octobre 1924 à Sainte Foy, 
ordonné prêtre à Dax le 29 juin 1948, il
devient vicaire à Pontonx sur Adour de 1948 à 1951 et cette même année, nommé à la paroisse de Geloux  jusqu’en 1985. Depuis, il était domicilié à Bascons où Il fêta son jubilé (60 ans de sacerdoce) en 2008.

Il a accompli du premier, au dernier jour, 69 années d’ordination presbytérale avec    humilité, avec sérieux, et en restant fidèle aux convictions qui n’ont jamais cessé de
l’habiter.

 

Il fut l’un des plus fervents défenseurs et un aficionado de longue date de la Course
Landaise. Il a été et restera le gardien de notre Chapelle et du Musée de la Course
Landaise.

 

Pour notre territoire et pour les communes de la paroisse de Saint Pierre et Saint Paul,  et particulièrement les quatre dont il avait la charge : Artassenx, Bascons, Castandet et Maurrin, il restera l’abbé chaleureux et
disponible qui a su unir et créer l’harmonie entre tous.

 

Nous garderons en mémoire les souvenirs, les moments forts vécus ensemble, les anecdotes et cet accueil chaleureux au
presbytère dont il avait le secret pour
toutes les grandes occasions.

 

Nous adressons un dernier adieu à notre abbé, et apportons un témoignage d’affection, d’admiration, de
reconnaissance à l’Homme d’Eglise bien sûr, mais d’abord et surtout à l’Homme qu’il a été.

Ces souvenirs sont « des biens précieux ». 

Le 19 juillet, une nombreuse assistance était présente à ses obsèques, lesquelles selon sa volonté, se sont déroulées en toute simplicité.

Nous renouvelons ici, l’expression de nos sincères condoléances à toute sa famille.

 

Cher Robert, chacun de nous vous dit : « Adieu l’Abbé ».